Nous demandons pardon à Dieu pour les fautes commises. Le Kyrie trouve ses sources aux racines du christianisme.
Suivant la Présentation Générale du Missel Romain : après l’acte pénitentiel, on commence toujours le Kyrie eleison, à moins que cette invocation n´ait déjà trouvé place dans l’acte pénitentiel lui-même (Je confesse à Dieu). Puisque c´est un chant par lequel les fidèles acclament le Seigneur et implorent sa miséricorde, il est habituellement exécuté par tous, le peuple, la chorale ou un chantre y tenant leur partie.
Chaque acclamation est ordinairement dite deux fois, mais cela n´exclut pas, en raison du génie des différentes langues, des exigences de l´art musical, ou en raison des circonstances, qu´on puisse la répéter davantage. Quand le Kyrie est chanté comme faisant partie de l’acte pénitentiel, on fait précéder d’un » trope « * chaque acclamation.
Voici ce que Kan Iliz vous propose comme Kyrie breton.